HOMÉOPATHIE

Les traitements en homéopathie

Les indications sont identiques à ceux de l’Acupuncture, car ils sont complémentaires. Nous combinons donc les prescriptions des remèdes testés, avec un rééquilibrage de la circulation énergétique par acupuncture.

En Homéopathie, si vous avez une douleur abdominale dont les caractéristiques sont analogues à ceux provoqués par un empoisonnement a l’arsenic, pour la traiter on prends une molécule d’arsenic que l’on va diluer énormément et obtenir le remède (arsenicum Album) qui fera céder la douleur.

Hahnemann découvrit ce curieux phénomène pharmacologique: le principe de similitude. Toute substance susceptible de provoquer des symptômes chez des personnes en bonne santé, est capable de guérir les mêmes symptômes chez les personnes malades.

Il venait d’inventer « le poison qui guérit »….

Il eut ensuite l’idée, afin de diminuer la toxicité des substances, de les diluer. C’est ainsi qu’il découvrit l’action de l’infinitésimal, second principe de l’Homéopathie. L’extrême dilution, tout en diminuant la quantité, augmente la puissance d’action des médicaments homéopathiques, (à condition de bien choisir ceux qui conviennent au cas d’un patient).

Une substance agit par sa dilution. Elle s’exprime le plus souvent en CH= Centésimale Hahnemanienne (Exemple: 4 CH= 10 puissance -8 = 0,00000001 g). Plus on dilue, moins il y a de matière mais plus l’énergie est importante.

Pour la physique classique, une substance diluée au delà du nombre d’Avogadro, (signifiant qu’il n’y a plus aucune chance d’avoir une seule molécule du produit, soit au delà de 9 CH = 10 puissance -18), ne devrait pas agir. Or, il est maintenant démontré scientifiquement qu’une molécule très diluée, à la capacité de déclencher une réaction comme si elle était toujours présente. Elle a donc transmis sa signature électromagnétique, un signal porteur d’une information.

NB: Hippocrate en 400 av. J.C.,le père de la médecine, connaissait le traitement par les contraires et par les semblables. Il écrivit: « La maladie est produite par les semblables, et par les semblables que l’on fait absorber, le patient revient de la maladie à la santé ».

Puisque un remède émet un signal, par contact cutané, la prise du pouls permet d’observer l’incidence énergétique du remède sur le patient testé. (Pour ceux qui se pose la question, sachez qu’un signal est une onde qui passe à travers la matière, tout comme vous n’êtes pas obligé d’ouvrir la fenêtre pour écouter la radio, on n’est pas obligé d’absorber un remède ou un médicament pour observer s’il est efficace, ou s’il est nuisible par la simple observation des modifications de l’équilibre des pouls chinois).

On peut donc savoir si le remède choisit permet de remettre le patient en équilibre.

La prise du pouls permet de savoir quel remède choisir, dira à quelle dilution prescrire, combien de fois par jour, et combien de temps. C’est le principe de « résonance ».

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